« Après Jésus est il Dieu » dont nous avions réalisé la couverture où entre foi et savoir, avec rigueur et respect, Gérard Israël s’interrogeait sur le dogme majeur des chrétiens. Celui-ci aborde le subtil sujet de Marcion qui fonda une Église dissidente et fut considéré par la suite comme l'un des premiers hérésiarques. Un sujet sérieux et sensible auquel ne répond, comme la couverture précédente, que la justesse d’une mise en page, imposante comme un coup de poing. Le rouge rappelant l’univers ecclésiastique, le fond blanc l’accueil.
Une mise en page préservant toutes les susceptibilités, solide et sérieuse, appel à la curiosité :
- mais qu’elle est cette ombre ? Gérard Israël va nous donner les clés à n’en pas douter !